⊰ prénom et pseudo : Babeudibabeuda  ⊰ âge : 22 ans et demi ! ⊰ comment tu as connu le forum : Grâce à Facebook ⊰ ce que tu en penses : Non Mais MAGAAAAAAAAD ! Un contexte que sur Le pays imaginaire ! J'suis IN LOVE. ⊰ ton avatar : Josh Hutcherson ⊰ crédits : heu? ⊰ as-tu besoin d'un parrain ? : Ca dépends qui c'est    ⊰ un mot pour terminer : J'ai hâte de Rp ! OH OUI OH OUI 8     

Il y a des enfants qui ont tout pour être heureux comparé à d'autres. Ils sont même enviés par certains qui les méprisent dans la rue. Le mépris, la jalousie, la haine parfois hantait les garçons des rues envers les gens qui vivaient comme la famille d'Augustin. Sa famille était riche. D'ailleurs, le père de celui-ci était le Maire de Douvres. Belle place, beau palace, plein d'argent. Augustin naquit juste pour que son père ait un héritier, rien de plus. Un enfant qui en devenant grand reprendrait lui aussi la politique de la ville, il épouserait une duchesse avec une belle dot et deviendrait encore plus riche que son père. Voilà l'unique raison de la naissance d'Augustin: l'économie familiale. Déjà à la naissance, c'était un enfant perdu né dans une famille misérable. Dès que sa mère l'eut expulsé de son ventre, elle le confia à leur gouvernante, Nancy. Nancy était tout aussi désagréable que ses parents. Alors pour éviter de se faire réprimander, il obéissait. Il était sage, ne parlait que si on lui demandait et ne bougeait que quand on lui en donnait l'ordre. Il pensait que c'était normal la vie qu'il vivait, il ne se posait pas de questions. Car quand il faisait une bêtise – qui consistait à faire tomber un verre en terre cuite ou autre chose banale – il se faisait taper sur les fesses avec une cuillère en bois. Avez-vous déjà vécu cette douleur ? J'ai bien peur que ca soie la pire qui soit pour un enfant. Ca picote et ça brûle en même temps, ca tire et ça irrite et le pire, c'est que vous ne pouvez pas pleurer car, sinon, c'est reparti, et vlan ! Encore un coup de cuillère. Parfois, ca allait jusqu'à vingt coups et au lieu d'avoir les fesses rouges, après quelques jours, elles devenaient bleues. Il lui était alors impossible de s'assoir. Le dimanche, c'était son jour préféré. Il allait à la messe et recevait des confiseries de la part du Curé. Il l'aimait bien car il lui apprenait à lire avec les autres enfants riches. Eux, ils étaient horribles. Ils déchiraient les livres, faisaient des ratures, les jetaient dans l'âtre fumant. Augustin avec beaucoup de peine pour son unique ami le curé. Puis un jour, les autres enfants ne sont plus jamais venus et c'était très bien ainsi.  Quand Augustin apprit à lire c'était la révélation. Il se sentait pour la première fois le plus heureux des enfants. Le curé lui donnait des tonnes et des tonnes de livres racontant diverses histoires. Certaines parlaient d'enfants-loups, d'autres de magiciens étranges, de pirates sanguinaires, d'hommes primitifs, de femmes qui étaient d'effroyables guerrières, … Augustin s'instruit grâce à son ami le curé. Chaque fois qu'il le voyait il lui racontait les suites de ses lectures et il était heureux, il se sentait vivant de partager ces moments avec lui. De retour à la maison, sa mère –pardon- son horrible mère lui faisait les cours toute la journée. Très vite, il devint un garçon très instruit et intelligent. Heureux à l'église et malheureux à la maison. Il aurait voulu passer sa vie chez son ami le curé. Bien plus tard, le curé tomba malade et perdit la vue. Du haut de ses 10 ans, Augustin lui faisait la lecture. Il allait acheter des nouveaux livres et s'empressait de les lui lire. Souvent, il rencontrait des enfants des rues sur son chemin, Augustin n'avait jamais appris à se défendre et on lui volait souvent son argent après l'avoir roué de coup. Malgré ça, ils lui laissaient toujours le livre, quelle importance pour eux ? Il rentrait boueux chez le curé qui le félicitait de pas avoir eu à la force mais bien eu celle de les pardonner. Par contre, quand il rentrait tout crasseux chez lui…. Coups de cuillère. A l'aube des onze ans d'Augustin le Curé perdit la vie. Augustin eut du mal à s'en remettre. Il pleurait sa mort toute la journée. Quand il ne pleurait pas, c'était quand il faisait la lecture à la sépulture de son ami défunt. C'est à ce moment là qu'Augustin commença à se rebeller contre ses parents et Nancy sa gouvernante. Il commençait à gagner en assurance à lire les histoires des héros dans les livres. Lui aussi, il voulait être un héro. Il se rendait compte qu'il détestait ses parents et qu'il ne voulait pas faire de la politique. A 15 ans, il entrait dans une école privée, il ne voyait plus ses parents. Ca les arrangeait bien tous les trois. Au lieu d'aller au cours, Augustin,  écrivait dans sa petite chambre à la lueur d'une bougie. Il écrivait des histoires sur des vieux bouts de parchemins et s'arrêtait pour manger et pour dormir. Evidement, il a raté ses examens et fut renvoyé chez lui et affronta la colère de son père. Colère qui se soldat par des coups, de la haine des deux côtés. Augustin avait apprit à l'université à se défendre et à oser devenir quelqu'un. Il décida après cet épisode de voler de ses propres ailes et à l'aide d'un sac, il parti sur la route pour se confronter à la vraie vie. Au village voisin, Augustin convainc un pêcheur de l'engager comme ouvrier. Loin de vivre la vie qu'il voulait, il tenu deux ans et puis partit de nouveau sur la route, trainant des pieds, baignant dans sa sueur et la saleté et rencontra la personne qui allait changer sa vie : Peter Pan.


Posé sur un rocher, il scrute l’océan et imagine. Il pense à un monde où il serait heureux, où il connaîtrait des gens bien, où il serait aimé pour ce qu’il est. Il imagine un monde loin d’ici entouré de gens comme lui qui rêvent les yeux ouverts et qui aiment croire à des choses saugrenues.  Mais ce genre de monde n’existe pas. Il essuie ses larmes d’un coup de manche. La boule qu’il a dans la gorge ne cesse d’enfler, ses yeux de s’humidifier. Il est là face à l’océan, seul. Il regarde l’horizon et il se dit qu’il n’y a plus rien pour lui ici. Un jeune homme seul face à l’océan avec un corps d’adulte et un esprit d’enfant. Il n’a pas sa place sur Terre, il est trop différent, pas sérieux. Il jette un regard sur ce qu’il est. Il n’est rien. Un pauvre type qui n’a plus rien à perdre à part peut-être sa dernière paire de sandales. Et encore, elles ne tiennent plus qu’à un fil. Il avance un pas. Il n’est plus qu’à un petit mètre de la falaise. Au pied de celle-ci des rochers où s’écrasent les vagues déchaînées. Un autre pas. Il repense à sa famille qui n’existe plus pour lui. D’ailleurs, il n’est pas sûr de se rappeler du visage de son père et de sa mère.  Quelle triste vie. Encore un pas. Il peut à présent voir les vagues se déchainer à ses pieds. Il est pris d’un vertige. Il hésite. Et si c’était la bonne solution ?Il ne réfléchit plus. Son cerveau n’est plus actif. Il saute. Le vent blesse son visage, il tombe. Tout est au ralenti autour de lui. Il ne crie pas, il se laisse porter par le vent du nord. Il sent le froid s’insinuer en lui. Il a l’impression que sa chute ne s’arrêtera jamais. Il repense à tout ce qu’il a vécu dans sa minable vie et il sourit. Il va enfin rejoindre un monde meilleur. Il sent qu’on l’agrippe. Le vent le serre et l’emporte loin. Non, ce n’est pas normal. Il ouvre les yeux et voit des mains autour de sa taille qui le tiennent fermement. Que se passe-t-il ? Il vole. Pour de vrai. Il est pétrifié, il vole. Il ne comprend pas. Il s’agite et hurle. Il entend une voix de garçon qui lui dit qu’il n’a rien à craindre, qu’il l’emmène dans un autre monde. Serait-ce un ange ? Il tourne la tête. Le garçon est blond et à un visage enfantin. Était-ce le visage de la mort ? Libéré. Il se sent libre et heureux. Il sourit et se laisse emporter sans poser de question. Ils sont à présent dans le ciel. Il se demande où est-ce qu’on l’emmène et le garçon lui répond : « C’est la deuxième étoile à droite, et tout droit jusqu’au matin. » Il grelotte. Il fait froid là-haut dans les nuages. Et puis tout d’un coup, tout s’éclaire. Il ferme violemment les yeux. Une odeur d’eau salée lui parvient aux narines. Où sont-ils ? Il parvient faiblement à ouvrir les yeux. Petit à petit il s’habitue à la lumière vive et pose son regard sur le monde qui l’accueille à bras ouverts.En bas, une île. La plus belle qu’il n’eut jamais vue. Même dans ses histoires, son imagination ne l’avait pas emmené aussi loin. Il cligne des yeux, il croit rêver. Il est bien vivant. Il ne comprend pas mais se laisse emporter par l’étrange garçon qu’il apprécie déjà de l’avoir emmené ici. Il respire une grande bouffée d’air. De l’air frais. Il se sent renaître, il se sent lui-même. Il se sent parfaitement bien. Presque… Heureux. Oui, c’est ça, il se sent heureux.


Des années s'écoulèrent sans que rien d'étrange ne se passe à Neverland. Les garçons perdus vivaient heureux avec leur ami Peter Pan. Augustin fut un des premiers garçons perdu à atterrir sur l'île. Très vite baptisé Scampi par les autres, il était chargé de ramener du poisson, un de ses nombreux talents. Le soir, il leur racontait des histoires et tout se passait merveilleusement bien. Et puis les pirates sont arrivés et là, c'était la fête. Des bagarres, des trésors cachés, Augustin se plaisait vraiment dans cette petite île où ils pouvaient tout faire, ne jamais vieillir et surtout vivre des aventures extraordinaires. Entre les fées, les indiens et les pirates, il n'y avait pas une seconde – enfin, tout est relatif – où les enfants perdus ne s'ennuyaient pas. Augustin avait enfin trouvé sa place, une vraie famille et puis un jour, Peter perdit la boule. D'abord, il invita Wendy, jean et Michel au Pays imaginaire. Augustin avait beau lui dire que c'était une mauvaise idée d'inviter une fille ici mais Peter Pan voulait une Maman. Déception pour Augustin. Il avait gardé un tel mauvais souvenir de sa mère que lorsqu'il vu Wendy, il ne pu s'empêcher de jouer au jaloux avec Tinkerbell. Wendy fini par retourner chez elle et Augustin en était très heureux. Puis à partir de là, Peter Pan commença à délirer, il ramena des filles perdues. Augustin croyait rêver. DES FILLES. Parmi les garçons perdus ? Non, c'était impossible. Et pourtant… Au début Augustin ne les apprécia pas. Par principe. Et puis, étrangement, il devint une aile protectrice pour ces filles encore plus que pour les garçons. Il arrivait peu à peu à les apprécier et à les intégrer dans sa famille. Il avoua peu de temps après à Peter que ce n'était pas une si mauvaise idée. Difficilement certes puisqu'Augustin n'aime pas avoir tord. Avez-vous déjà remarqué que lorsqu'un problème disparaît, un autre apparaît ? Un cirque fit son apparition. Et Augustin tomba amoureux. Comme ça, boum. C'est arrivé sans prévenir. Il est tombé amoureux du cirque. Il ne se passait pas une nuit sans qu'il se faufile dans le petit village qui éclosait. Les lumières, les danses, les couleurs, tout le subjuguait. Il était amoureux des talents, amoureux des costumes : sa créativité refaisait surface. Pourtant, jamais il ne laisserait tomber les enfants perdus, jamais. C'était sa famille. Et il devait tout faire pour garantir leur sécurité. Il était un de leur doyen, leur protecteur. Un peu leur père parfois. Il ne se doutait pas qu'un jour il les quitterait.  Pour leur éviter un danger complètement malsain.
Un jour, Hook eut vent de sa fascination pour le Cirque. C'est là que tout commença à tourner mal pour Augustin. C'était la nuit, il dormait profondément avec les enfants perdus et Peter dans leur camp. Il était revenu tard de son expédition dans le village du cirque. Il avait parlé à certains habitants et les trouvait fortement sympathiques. Il savait que Peter ne les aimais pas, mais il ne pouvait s'empêcher de penser que leur venue pouvait être bénéfique. Enfin, ca dépendait de qui, évidement. Il s'endormit les yeux plein de souvenirs colorés. Il rêvait encore d'histoires rocambolesques, d'aventures farfelues quand il fut arraché à son sommeil. Il senti un sac sur sa tête et le froid de la nuit lui hérisser les poils. Hook retira le sac de jute et posa son nez sur le visage d'Augustin. Augustin était pétrifié. Il n'avait pas d'armes pour se défendre. Aucune. Il senti la peur s'emparer de lui. Hook lui expliqua que de sa faute il avait trouvé le repaire de Peter et qu'en plus il savait qu'il passait ses nuits aux villages des acrobates. Hook savait pertinemment sur quel chemin il s'aventurait. Augustin était rongé par la culpabilité à cause de lui, les enfants perdus n'étaient plus protégés, et Peter le détesterait d'apprécier le Cirque. Il était foutu. Sa famille se brisait à nouveau. Il n'eut pas d'autre choix que d'accepter le marché de Hook. Travailler gratuitement sur son bateau, observer le cirque et venir lui raconter tout ce qu'ils savaient sur eux. En échange, Hook ne ferait aucun mal aux garçons perdus dans leur sommeil, il n'irait pas saccager leur camp. Maintenant, Augustin est, on peut le dire, un pirate malgré lui.

⊰ fiche validée. un personnage complexe, une vraie personnalité, une fiche bien écrite ... je n'ai rien à redire, c'est parfait ! j'ai hâte de voir comment tout ça va évoluer, ça promet des rps géniaux ! tu gagnes largement ta place parmi nous

Ton travail n'est pas terminé, tu as encore des choses à faire ! En effet, tu vas devoir recenser son métier et ton rang dans la société ! Si tu ne veux pas dormir dehors, tu vas également devoir te trouver un toit, Neverland n'est pas sûr la nuit ! Comme personne n'aime être seul, tu peux remplir ta fiche de liens et n'oublie pas de la mettre à jour régulièrement ! Et enfin, tu peux faire ta fiche de sujets, envoyer des fées porter tes missives, et même créer des scenarios. Le reste du forum t'est ouvert, amuse-toi bien parmi nous !