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| (Benedict Cumberbatch) - Les Aubes sont mortes | |
| Auteur | Message |
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Invité | Sujet: (Benedict Cumberbatch) - Les Aubes sont mortes Jeu 24 Avr - 13:20 | |
| Lester Wayne ft. Benedict Cumberbacht~ the circus keys to the kingdom | identity |
⊰ pour quelle raison êtes-vous venu(e) à neverland ou y demeurez-vous actuellement, alors que le monde réel est si grand ? Neverland... Le besoin inéluctable de ressentir du frisson. Mais non, c'est réellement pour ce retour aux sources, ce besoin irrépréssible d'être un mortel différent. Vivre n'est point beau dans la réalité, alors peut-être qu'en ce monde, les rêves seront plus verts, peut-être qu'ici, la joie de vivre serait d'une candeur extrême. Et c'est sans doute cet irrépressible besoin de changement et cette envie d'effacer l'ardoise qui furent les causes de cette subite arrivée. L'envie d'être un autre. ⊰ pensez-vous que la guerre est inévitable, ou êtes-vous de ceux qui croient que tout le monde peut encore trouver un terrain d'entente ? La guerre. S'étant déclaré saint parmi les saints à Rivebois, village qu'il a fondé avec l'aide de sa troupe, il pense qu'elle est inévitable. Bien qu'il préféra éviter les tensions, les pourparlers se montrent peu audacieux, piétinants, révoltants. La diplomatie est un échec, il faut bien se l'avouer. Et lorsque la diplomatie s'évanouie, il ne reste plus que les canons sur lesquels compter. Lorsque rugissent les tambours, il est trop tard pour s’inquiéter des conséquences. Et aujourd'hui, les conséquences, il s'en fiche un peu. Si c'est le sang que veut Neverland, alors Neverland aura le sang. ⊰ quelle est la chose la plus importante à vos yeux ? l'amour, l'argent ou la réussite ? La réussite. Il ne faut pas hésiter une seule seconde. L'ambition est le moteur principal de la vie de l'homme. Il ne se sépare absolument jamais de sa force à être quelqu'un d'entreprenant. La vie d'oisif paysan ne lui conviendrait pas, il est convaincu que c'est en forgeant qu'on devient forgeron, aussi pour réussir, il faut s'acharner, s'en donner les moyens. Et il a besoin de ça, un immense besoin. Une si vive ambition qu'elle pourrait bien ne lui apporter que des mésententes particulièrement salaces. ⊰ si l'on vous annonçait que vous alliez mourir demain, quelle est cette fameuse dernière chose que vous feriez ? S'il fut au courant de sa propre mort, il se donnerait tous les moyens, même inconscient d'embrocher Peter Pan au bout d'une l'âme. Ce gamin imberbe et insolent est un véritable obstacle à ses plans, et il ne pourrait supporter de voir les siens en échec à cause d'un gosse. Il Alors s'il avait été averti de sa mort par une quelconque magie, il n'aurait aucune hésitation quant à agir vite et pas forcément de la meilleure manière qu'il soit. | ⊰ nom et prénom(s) :On le nomme Lester Wayne depuis qu'il a été adopté, son nom biologique, on ne le connait point. On suppute que ses parents biologiques n'eussent pas communiquer ce détail à l'orphelinat où on le lâcha. On le surnomme souvent Lester ou pour les intimes qui se comptent sur les doigts d'une main d'atrophié, "Lest", bien qu'il déteste ce surnom. ⊰ âge, en apparence et réellement : Il est âgé de quarante trois années bien qu'en apparence, il ne fait que trente sept ans. Autant dire qu'à part quelques rides, son visage n'est pas extrêmement différent. Il possède seulement quelques traits d'une vigueur dépassée. ⊰ lieu de naissance : En Angleterre, dans la bourgade de Nottingham. ⊰ origines et nationalité : Il est anglais, d'origine inconnue. Bien que ces traits rappellent parfois l’Irlande aux connaisseurs. ⊰ études, emploi :Il fut directeur d'un cirque. Aujourd'hui, il est toujours directeur du cirque mais il occupe également les fonctions de chef de Rivebois, décision votée par lui seul. Il s'est donc autoproclamé comme dirigeant. ⊰ situation financière : Aisé tout de même, bien qu'il ne soit pas le plus riche des riches. ⊰ statut marital : Sa femme est morte, malheureusement. ⊰ orientation sexuelle : Aux dernières nouvelles, il est un hétérosexuel parfaitement vigoureux. ⊰ allégeance : Etant le dirigeant adulte du coin, il soutiendra les adultes sans aucun doute, dans le but bien entendu de servir un minimum ses intérêts. Il fait mine de soutenir la cause pirate pour s'attirer un maximum d'alliés dans la guerre qui menace d'éclater. ⊰ sa vie à neverland : Il y est depuis six ans. C'est en rencontrant Hook aux abords d'un port qu'il a appris l'existence de ce monde. Immédiatement, il y a vu l'occasion de recommencer une vie neuve, plus saine, une vie de marque. Autant dire que son attrait pour le pouvoir ont fait échouer la tranquille vie qu'il espérait couler. ⊰ qualités :C'est un homme assez rusé et instruit auquel vous pouvez faire face. Physiquement agréable, il est un brin charmeur et ses airs vous donnent l'impression d'être quelqu'un de confiance. C'est un valeureux, un courageux. ⊰ défauts : Cependant cette confiance n'est que frasque. Il est en réalité un manipulateur hors pair, n'hésitant pas à utiliser sa froideur légendaire lorsque cela est nécessaire. En bon hypocrite, il suivra une cause si cela peut lui rapporter un intérêt. Froid et vil sont aussi quelques traits de sa personnalité. Son ambition démesurée pourrait causer sa perte, il le sait. . |
| | this person you are | ⊰ prénom et pseudo : Je m'appelle Yoann mais sur la toile, je suis connu sous le pseudo de RedDragon. ⊰ âge : Dix neuf printemps. . ⊰ comment tu as découvert le forum : Mystère et boule de gomme . ⊰ ce que tu en penses :C'est la classe ! ⊰ l'avatar que tu utilises : L'excellent Benedict Cumberbatch ⊰ crédits :Shiya pour l'avater et chupameelgif pour les gifs ⊰ un dernier mot pour la fin : Vive les patates . |
Alaska pour Lost Children
Dernière édition par Lester Wayne le Jeu 24 Avr - 13:36, édité 1 fois |
| | | Invité | Sujet: Re: (Benedict Cumberbatch) - Les Aubes sont mortes Jeu 24 Avr - 13:20 | |
| Tout au monde est désaxé. Tout. | ❝ Nous aimons tout ce qui finit et tout ce qui meurt. Voilà sans doutes, pourquoi tous nos amis sont morts... Notre faute est d'y survivre.
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Chapitre Ier : Le Manoir. C'était un manoir. Un manoir froid. Un manoir à la pierre usée. C'était la pluie, la plus frappante, la pluie battante, la pluie violente. C'était la pluie que son pire souvenir. Cette pluie criante, hurlante, terrifiante. Cette pluie qui n'avait de cesse de lui faire peur. Cette pluie hantée.
De sa jeunesse à Nottingham, la pluie était son souvenir. C'était dans ce manoir à la peau défraîchie, ce manoir où la religion était une salace obligation. De sa jeunesse là-bas, des brides. Des brides de souvenirs éparses qui revenaient pendant des nuits de songes ou parfois en plein état d'éveil. Ils venaient, puis ils prenaient la fuite. Subconscient de malheur. Lorsqu'ils venaient à frapper son être, il arrivait à se souvenir d'une bonne femme, une vielle harpie à la peau fripée -un testicule géante se disait-il parfois-, c'était la mère supérieure de l'Orphelinat dans lequel il avait été jeté.
Impossible cependant de se souvenir de grand-chose, et pour cause, il n'était encore qu'un pauvre enfant, une pauvre trogne déjà meurtri par la vie, par les coups d'un destin qui s'acharnerait à faire de lui une pitance pour les premiers chacals du matin. Oui, à pas même sept ans, il était déjà de ceux que l'Angleterre préféraient oublier.
De ce manoir, il ne conserva rien, si ce n'est un dossier d'adoption qu'il ne prendrait jamais la peine de consulter et surtout, des brides de souvenirs affreux. Ceux de la pluie avalant les pierres noires, ceux de la pluie béante, ceux de la pluie tueuse.
Chapitre IIème : Anyway.
La vie. Pour certains, elle était ce long fleuve d'une beauté rare, celle où il faisait bon, là où l'herbe était verte où les ruisseaux avaient ce goût d'ailleurs, ce goût d'évasion.
Puis, il y avait les autres. Ceux qui étaient venus dans le monde avec la défaite sur le fronton. Exclus de ce futur qui ne promettait rien de bon. Dans cette vie là comme dans des autres, le destin brisé, les larmes, les pas chancelants, excitants, révoltants avaient déjà la saveur des défections. A huit printemps, alors qu'il apprenait à connaître ceux qui seraient ses parents pour la vie, il fit la connaissance de la capitale anglaise. Londres avait cette fatigante habitude à être vivante. A chaque heure du jour ou de la nuit, Londres était là, se dressant sur ses pieds, rayonnante, séduisante.
Mais Londres était pleine de travers, ses soirées mondaines étaient d'un ennui total, et pour Lester, exhibé en créature surnaturelle -un petit adopté-, ces soirées avaient le goût de l’échec. Adopté. Des mots qui suivraient l'homme toute sa foutue vie. Adopté, ça rimait avec raté. Les soirées où ses parents traînèrent sa carcasse immobile furent les plus pénibles moments de son enfance. Enfant unique dans les premières années de son adoption, il fut la bête curieuse que l'on exhiba aux autres, incitant ainsi à l'adoption. Non seulement parce que dans ce milieu, ça faisait "gens tolérants" mais également parce qu'on considéra les enfants adoptés comme plus reconnaissants. C'était pour éviter toute attitude rebelle pendant l'adolescence dit on souvent entre gens de bons revenus.
De toutes façons, à cette époque, il pensait encore que sa vie était déjà tracée, qu'elle ne serait que jugements et hypocrisies bourgeoises. Il ne se doutait point qu'il ne serait bientôt plus qu'un autre.
Chapitre IIIème : Les portes du soir.
Une faible musique. C'était le souvenir qui marqua cette époque là. Une faible chanson à l'air simple et sans paroles. C'était d'ailleurs cette pure simplicité qui faisait qu'on retenait bien le morceau.
Alors que le jeune Lester avait trois ans de plus, il avoisinait donc les onze années, on fit venir à sa connaissance l'envie d'adopter à nouveau. Choix discutable, il ne se permit cependant pas d'émettre quelque avis et accepta la nouvelle avec une joie presque immense. Il aurait enfin un compagnon de jeu digne d'intérêt, et surtout, il y aurait un nouveau centre d'intérêts pour la famille, on le laisserait ainsi tranquille.
C'est dan cette optique particulièrement vile mais pourtant réaliste qu'il appris à connaître son autre adopté de frère. Le courant passa bien entre les deux, et lorsqu'Elizabeth arriva un an plus tard, adoptée elle aussi, la fraterie Wayne-autres noms inconnus fut au grand complet. Les portes du soir aux portes de la maison, l'arrivée d'Elizabeth chambouleraient bien des choses dans la tête de l’aîné. Pour n'importe quel historien, c'est à ce moment là que la pente s'inclina.
Chapitre IVème: Un Grand Carnaval.
Le cirque. Ce fut à cette époque que les parents non biologiques des jeunes hommes donnèrent à la fratrie l'amour du cirque. Non volontairement d'ailleurs. Ayant vécu toutes leurs vies dans les hautes sphères bourgeoises de Londres, c'est par désir d''ouvrir leurs enfants au monde qu'ils ont décidé de les mener sous un chapiteau.
Là, ce fut une sorte de révélation. Le cirque ne fut pas seulement un bon moment, ce fut une Révélation, oui, avec un grand R. Le cirque fut la réunification (avec un petit R cette fois) d'une fratrie déjà complice. Les trois étaient passionnés. Certains par les animaux, d'autres par les tours, et d'autres encore par les dangereuses figures aériennes. Tous les trois cependant avaient le goût pour le sable des pistes rondes, l'amour de ces gens simples qu'on qualifiaient de "gitans" partout autour du monde.
Voleurs et médians pour certains, ils étaient l'expression de la gentillesse et de l'intelligence pour les Wayne. Passant de plus de temps avec la troupe du cirque qui avait établi ses quartiers dans les pauvres quartiers de Londres, Lester prit la responsabilité de mentir aux parents. Ces gens là ne devaient rien savoir de leurs vies manouches.
S'ils venaient à l'apprendre, ça serait la fin de ces belles choses et le retour à la réalité. Cette réalité si dure à accepter. Ce pavé froid qu'on se prendrait au visage en France, quelques cinquante ans plus tard. Cependant, alors qu'il prend vingt ans, un choix cornélien s'impose. Etant devenu plus ou moins doué dans les arts corporelles, on lui propose à lui ainsi qu'à son frère et à sa sœur, une place de choix dans la troupe.
Il est d'un autre côté promis à de grandes études du côté d'Oxford. Avocat qu'ils veulent qu'il soit. Mais il n'en fut rien. La troupe du cirque ayant tellement montré d'affection à l'égard des trois jeunes, ils décident d'un accord commun de prendre la fuite. Et prenant son courage à deux mains épaisses, il quitte les mondanités pour une vie si rude sur les chemins boueux de l'Angleterre.
Chapitre Vème : La machine à rattraper le temps.
L'Angleterre. Cette douce terre. Nous voici en Mille-neuf-cent-vingt-huit. L'Europe est déjà déchirée par des guerres économiques. Bien que le déclin des banques ne se ferait qu'un an plus tard, ici, déjà, au cirque, on meurt de faim.
Pour les coureurs de pays qu'ils sont, l'argent devient fâcheusement un souci. Les gens ne viennent plus au cirque, ils désertent. Et pour cause, ils n'arrivent déjà plus à manger. D'un autre côté, il faut soigner les animaux, entretenir un minimum le matériel. On négligea bien entendu cette partie et l'inévitable se produisit.
Sa femme trouva la mort à la vitesse fulgurante d'un éclair. Une chute, un cou brisé et ce fût la fin. La fin de toutes les bonnes et les mauvaises choses. La fin d'une vie. La fin de sa vie.
Chapitre VIème : Le Message
Sept années durant, sa vie fut un enfer. Bien qu'il continua à diriger d'une main de maître l'héritage de ceux qui avaient su lui faire confiance, il n'y avait plus aucune envie dans ses gestes.
Plus aucun goût à produire, plus aucune gêne non plus à s'emporter et à viser plus haut, comme s'il n'était jamais heureux. La recherche du bonheur ne se terminerait pas de sitôt mais déjà, sept ans après, un message, une missive du Divin ou d'un autre lui donna un espoir fou.
Alors que la troupe s'était installée du côté d'une petite ville portuaire, il fit la rencontre d'un étrange homme au port. Il était venu y jeter une pièce. Deux ans déjà que les nouvelles d'Europe étaient mauvaises. Adolf Hitler était monté au pouvoir, la France se préparait plus ou moins à monter le ton, et l'Angleterre s’immisçait dans les débats. Rien n'ici ne présageait le bonheur.
La guerre, la deuxième guerre mondiale, voilà le fléau qui frapperait bien vite ce monde. Et il ne vivrait plus. Peut-être qui la rejoindrait au moins... Mais il ne devait point. Pour elle, au contraire, il devait profiter, vivre.
Un type lui parla des heures durant d'un monde où il y aurait de la place pour eux, où ils ne seraient pas affabulés de commentaires racistes et xénophobes. Un endroit où les "manouches" qu'ils étaient devenu pourraient s'établir et vivre. Ils pourraient prendre ce qu'ils voulaient.
Un monde plus simple. Seulement un monde plus simple.
Chapitre VIIème : Crash Me
Neverland s'ouvrit à lui. Du moins, il força Neverland à s'ouvrir à lui. La vie simple dont il avait rêvé ne pourrait s'opérer tant que les intérêts adultes humains n'étaient pas préservé, et ils fondèrent Rivebois dont il prit la direction.
Il scella une alliance avec les pirates. Les deux partis souhaitant la tête de Peter Pan et des Enfants Perdus pour se développer en paix. Les créatures non-humaines prirent quant à elles, la décision de s'allier aux enfants.
Et par dessus tout, une guerre guettait. Et alors que Lester avait fuis le monde réel en partie pour éviter le conflit mondial qui se dresserait bientôt, dans ce monde là aussi, il irait à la guerre.
Alaska pour Lost Children
Dernière édition par Lester Wayne le Jeu 24 Avr - 17:34, édité 9 fois |
| | | Invité | Sujet: Re: (Benedict Cumberbatch) - Les Aubes sont mortes Jeu 24 Avr - 13:23 | |
| Bienvenue sur le forum!!! ^^ Quelle belle citation dans le titre |
| | | Invité | Sujet: Re: (Benedict Cumberbatch) - Les Aubes sont mortes Jeu 24 Avr - 13:28 | |
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| | | Peter Pan ❝ you have fire, i like fire. | Sujet: Re: (Benedict Cumberbatch) - Les Aubes sont mortes Jeu 24 Avr - 13:31 | |
| Officiellement bienvenuuuuuuue chez toi Quel choix de PV quoi, tu gères Si tu as la moindre question, tu sais où nous trouver Courage pour la suite de ta fiche Je ne sais pas pourquoi je reviens à la ligne à chaque phrase |
| | | Invité | Sujet: Re: (Benedict Cumberbatch) - Les Aubes sont mortes Jeu 24 Avr - 13:37 | |
| MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Pour le titre, c'est Indochine qu'il faut remercier Encore merci à vouuus (a) Owi, je sais où vous trouver |
| | | James Hook | Sujet: Re: (Benedict Cumberbatch) - Les Aubes sont mortes Jeu 24 Avr - 13:39 | |
| Ehhh, le nouveau patron ! Bienvenuuuuu Super pv, nouveau poto ! Courage pour ta fichette |
| | | Aénor | Sujet: Re: (Benedict Cumberbatch) - Les Aubes sont mortes Jeu 24 Avr - 13:43 | |
| Tiens, tiens qui voilà ! Bienvenue chez toi *saute partout * |
| | | Invité | Sujet: Re: (Benedict Cumberbatch) - Les Aubes sont mortes Jeu 24 Avr - 13:44 | |
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| | | Tiger Lily ❝ the girl who loved too much ☆ | Sujet: Re: (Benedict Cumberbatch) - Les Aubes sont mortes Jeu 24 Avr - 14:08 | |
| T'as mis du INDO dans ton titre ! JOTEM ! Bienvenue ici & bonne chance |
| | | Invité | Sujet: Re: (Benedict Cumberbatch) - Les Aubes sont mortes Jeu 24 Avr - 14:24 | |
| Merciiiiiiiiiiiiiiiiii à vouuuuus Et j'ai du Indo un peu partout d'ailleurs *O* |
| | | Peter Pan ❝ you have fire, i like fire. | Sujet: Re: (Benedict Cumberbatch) - Les Aubes sont mortes Jeu 24 Avr - 19:00 | |
| | ❝ Always be yourself, express yourself, have faith in yourself, do not go out and look for a successful personality and duplicate it.
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Fiche validée ! c'est absolument parfait, tu as une très belle plume mais je te l'avais dit sur ToK je crois le personnage de lester est parfaitement compris, c'est génial Choses à faire. Ton travail n'est pas terminé, tu as encore des choses à faire ! En effet, tu vas devoir recenser son métier et ton rang dans la société ! Si tu ne veux pas dormir dehors, tu vas également devoir te trouver un toit, Neverland n'est pas sûr la nuit ! Comme personne n'aime être seul, tu peux remplir ta fiche de liens et n'oublie pas de la mettre à jour régulièrement ! Et enfin, tu peux faire ta fiche de sujets, envoyer des fées porter tes missives, et même créer des scenarios. Le reste du forum t'est ouvert, amuse-toi bien parmi nous ! |
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