Tempo Dolce

Lindsey Stirling, The Circus.

keys to the kingdom

identity

Elle est l'ainée d'une famille nombreuse, comportant une fratrie de 7 enfants ⊰ Elle avait une sœur jumelle, Primo, avec laquelle elle avait une relation fusionnelle ⊰ Son prénom, Tempo, était à accorder avec celui de sa soeur, Primo. Cela donnait Tempo Primo ou "Premier Temps" ; c'était une référence pour leur mère musicienne, au fait qu'elles étaient les premières de la fratrie Dolce ⊰ Primo est décédée en voulant protéger un enfant. La douleur qu'a ressenti Tempo en perdant sa soeur étant trop difficile à supporter, son caractère a changé, la rendant terriblement instable ⊰ Elle voue une haine intense aux enfants, et n'a aucun problème à leur faire du mal, tout au contraire ⊰ Elle parait gentille, et elle vous le fera probablement croire ; mais en elle se cache un être monstrueux et destructeur dont elle a totalement conscience et auquel elle tient beaucoup ⊰ Pourtant, peu importe ce qu'elle pourrait bien vous faire subir, elle reste d'une douceur à toute épreuve. Elle condamne la violence ; elle ne trouve pas ça amusant ⊰ Elle a un certain attrait pour tout ce qui s'avère être glauque, malsain et gênant pour le reste du monde ; contre-coup du décès de sa sœur ⊰ Elle ne s'en cache pas ; elle aime torturer les autres, ça l'amuse et ça la fait se sentir vivante. ⊰ Elle aime souffrir, faire souffrir, regarder les gens se faire souffrir. Bref. Elle aime la souffrance sous toutes ses formes ⊰ Lorsqu'elle joue du violon, le reste du monde n'existe plus pour elle. Et elle est douée, très douée avec cet instrument. ⊰ Elle a fait une grande école de musique, et par conséquent, elle sait composer ; d'ailleurs, c'est elle qui compose la plupart des mélodies qu'elle joue

⊰ nom et prénoms : Tempo Meredith Morgane Dolce. Ce sont ses prénoms et son nom de naissance, mais elle a abandonné son second et troisième prénom en arrivant à Neverland. ⊰ âge, en apparence et réellement : Vingt-sept ans en apparence, vingt-neuf en réalité ⊰ lieu de naissance : Londres, Angleterre ⊰ origines et nationalité : Anglaise par sa mère, Italienne par son père. Possède la double nationalité Anglaise/Italienne. ⊰ études, emploi : Elle été musicienne, violoniste dans un conservatoire de Londres, tout comme sa mère. Elle travaille aujourd'hui au sein du cirque de Rivebois, toujours en tant que violoniste. ⊰ situation financière : Modeste ⊰ statut marital : Célibataire ⊰ orientation sexuelle : Pansexuelle ⊰ allégeance : Qu'importe, tant que le camp qu'elle choisi ne l'empêche pas de s'en prendre à des enfants... ⊰ sa vie à neverland : Elle est à Neverland depuis deux ans, arrivée grâce à un navire pirate. ⊰ qualités : Expressive + Souriante + Tendre et Douce + Discrète + Maligne + Cultivée⊰ défauts : Autodestructrice + Destructrice + Manipulable et Manipulatrice à la fois + Instable + Menteuse + Impulsive

the person you are behind the screen

	⊰ prénom et pseudo : Stick, toujours o/ ⊰ âge : 21 ans. ⊰ comment tu as découvert le forum : Je sais plus, ça fait longtemps maintenant  ⊰ ce que tu en penses : C'EST MA MAISON ! ♥ ⊰ l'avatar que tu utilises : Lindsey Stirling ⊰ crédits : dama-do-lago & Inconnu (Tumblr) ⊰ un dernier mot pour la fin : J'VOUS LOVE, J'VOUS AIME, J'VOUS KIFF ! **

Lorsqu’on s’appelle Dolce,
on ne manque de rien
dans la vie...

C'était ce qu'ils disaient... Mais sans toi, moi, je manque de tout...

Lorsqu’on s’appelle Dolce, on ne manque de rien dans la vie. C’était bien avec cette valeur que Tempo avait été élevée. Ses parents, une musicienne anglaise de renom et un chirurgien italien très apprécié par une riche clientèle, n’avaient pas à rougir de leur situation financière. Tout au contraire. C’était certainement pour cette raison qu’ils avaient décidés d’avoir une famille nombreuse ; parce qu’ils en avaient les moyens. Très vite, Emily Dolce tomba enceinte de son premier enfant. De ses premiers enfants. Des jumelles. Ils ne s’étaient pas attendus à avoir des jumelles… Deux bébés, absolument identiques. De vraies jumelles. De celles qu’on ne peut pas distinguer l’une de l’autre. Même traits. Même façon de pleurer. Elles avaient tout en commun… Absolument tout. L’une de ces jumelles fut appelée Tempo. La première à avoir empli d’air ses poumons encore atrophiés. La première à être venue au monde. Et la seconde fut nommée Primo. Un prénom de garçon, certes, mais ce n’était pas la préoccupation d’Emily. Grande musicienne, elle avait convenu avec son époux, Giovanni Dolce, que leurs enfants porteraient le nom des différents temps tel que décrit dans le jargon musical. Ainsi, les jumelles Tempo et Primo représentaient Tempo Primo ; le « Premier Temps ». Jamais elles ne furent séparées. Jamais. Elles étaient indissociables. Et, parfois, même leurs propres parents les confondaient. Si bien que, très vite, ils leur achetèrent à chacune une gourmette gravée… Deux ans après la naissance des jumelles naquit Adagio, un frère. Puis Moderato, un autre garçon. Suivi de prêt par les jumeaux Largo et Grave. Et la petite dernière arriva dix ans après Tempo et Primo ; Doppio.

Sept enfants. Ils n’étaient pas seulement élevés par Emily et Giovanni ; leur carrière prenait du temps, et ils n’avaient pas l’énergie suffisante pour s’occuper de sept enfants qui n’étaient pas si éloignés que ça les uns des autres. Tempo et Primo avaient dix ans. Adagio en avait huit. Moderato, lui, était âgé de six ans. Largo et Grave, étaient fiers de dire qu’ils avaient quatre ans. Quand à Doppio, elle venait de naitre et n’avait même pas conscience de sa propre existence. Des nourrices venaient s’occuper des enfants Dolce. Seulement les nourrices, et leur mère. Leur père, lui, évitait de se trouver trop souvent dans la même pièce que sa famille beaucoup trop nombreuse pour lui. Et plus le temps passait, moins ses enfants le voyait. Ce fut Primo, âgée de 14 ans, qui surprit une conversation téléphonique ; celle qui fit comprendre aux Dolce que leur famille s’éparpillait au lieu d’être soudée ; leur père avait une maitresse. Ce qu’elle avait entendu, elle l’avait directement rapportée à Tempo. Et Tempo en avait touché quelques mots à leur mère, qui avait mis leur père à la porte sans préavis. Le divorce rapporta même de l’argent à Emily. Beaucoup d’argent… Suite à cela, des « clans » se formèrent au sein même de la fratrie... Tempo, Primo, Adagio et Doppio (qui ne se rendait pas vraiment compte de la chose), du côté de leur mère. Moderato, Largo et Grave du côté de leur père. Bientôt, de sept, la fratrie Dolce passa à quatre. Quatre à être restés en Angleterre avec leur mère. Les trois autres avaient décidés de suivre leur père et sa maitresse en Italie. Et Emily n’eut aucune nouvelle de Moderato, Largo et Grave… Si bien qu’elle compensa le manque de ses trois enfants qu’on lui avait arrachés avec l’amour presque étouffant qu’elle pouvait porter aux quatre restants. Il n’était plus question de nourrices ; désormais, Emily voulait être là, en tout temps, pour ses rejetons…

Les deux jumelles étaient inséparables, trop fusionnelles… Jamais elles ne se quittaient. Jamais elles ne faisaient quelque chose sans l’autre. Leur relation était trop profonde, même pour des jumelles… Mais leur mère ne s’en inquiétait pas outre mesure. C’était normal, disait-elle. Elle ne se rendait même pas compte que cette relation pouvait avoir des conséquences dramatiques… Les jumelles, elles, vivaient simplement. Elles étaient heureuses, comme ça. Toujours dans les mêmes classes, rares étaient les personnes qui parvenaient à se faire une place en tant qu’ami à leurs yeux. Pourtant, elles étaient sociables. Rigolotes, même. Et gentilles… Oh oui, si Tempo et Primo avaient bien une qualité, c’était d’être gentilles… Mais elles étaient trop soudées. Et les autres ne trouvaient pas leur place entre elles. Et ça leur allait très bien comme ça, à vrai dire. Ainsi, les années passèrent. 17 ans. A l’âge où certains commencent à avoir envie de vivre des relations amoureuses, Tempo et Primo voulaient être ensemble et refusaient les avances du moindre garçon qui semblait s’intéresser à elles. Au moins étaient-elles bien concentrées sur leurs études… La seule personne qui parvenait à entrer dans leur bulle suffisamment longtemps pour les intéresser se trouvait être leur mère. Leur douce et tendre mère, qu’elles aimaient de tout leur cœur. Elle parvint à leur transmettre sa passion de la musique, et les jumelles commencèrent à s’intéresser au violon. Tempo eut plus de facilité que Primo avec cet instrument, mais elles intégrèrent toute les deux une grande école de musique londonienne.

A 20 ans, Tempo était la plus douée de sa promotion. La musique, elle avait ça dans le sang – et c’était le cas de le dire. Elle ne se lassait jamais de faire pleurer les cordes de son violon… Ni de composer. Lorsqu’elle s’enfermait dans la musique, plus rien ne comptait autour d’elle. Il n’y avait plus que la musique, sa sœur et sa mère qui comptait aux yeux de Tempo. Le reste ? Superflu, inutile… Et Primo pensait la même chose. Aucune des deux ne voulaient faire sa vie sans l’autre. Si bien que, lorsqu’elles furent en âge, ce fut ensemble qu’elles prirent un appartement. Tempo fut diplômée de l’école de musique et, pistonnée par sa mère, trouva un emploi de violoniste au Conservatoire de Londres. La vie était belle. Et malgré leur père qui avait foutu en l’air la moitié de la famille pour repartir vivre en Italie, Tempo était heureuse. Son père ne lui manquait pas le moins du monde. Elle avait sa sœur, elle avait sa mère. Elle avait le violon… Que pouvait-elle vouloir de plus ? Elle n’était pas particulièrement proche de son frère et de sa sœur restés en Angleterre. A vrai dire, elle n’était pas proche de grand-monde en dehors de Primo… C’était exactement pour cette raison que l’accident qui arriva l’année de ses 26 ans la perturba autant. La tua, presque… Ou, du moins, tua une part d’elle-même. C’était un soir comme un autre, pendant lequel Tempo et Primo se promenaient le long des quais. Comme d’habitude. Mais un cri avait fait basculé toute cette soirée. Un cri d’enfant. S’il y avait bien un point sur lequel les deux jumelles ne s’accordaient pas, c’était sur la question des enfants. Primo les adorait, tandis que Tempo n’arrivait qu’à avoir un certain dégoût à leur encontre. Ainsi, ce fut Primo qui lâcha le bras de sa sœur pour se précipiter vers la source du bruit. Ce fut Primo qui s’interposa entre un homme visiblement ivre, et un enfant visiblement terrorisé. Et ce fut Primo qui se prit le coup de poignard fatal. Et, sous les yeux de Tempo, ce fut Primo qui perdit la vie. Il y eut comme un moment de flottement pendant lequel l’enfant profita pour s’échapper. Tempo s’était approchée, et avait ramassé le poignard que le type avait laissé tomber. Il avait tué sa sœur… Et elle allait le tuer. Elle avait l’impression qu’un vide étrangement abyssal s’était installé dans son âme… Et elle ne ressentit rien, lorsqu’elle plongea la lame dans la carotide de l’homme. Ce ne fut que lorsque le sang se répandit sur elle qu’elle s’autorisa à pleurer. Ce ne fut que lorsque l’homme rendit son dernier souffle qu’elle s’autorisa à hurler…

La police conclut à de la légitime défense et aucune poursuite ne fut retenue contre Tempo. Et après ? Elle avait perdu sa raison de vivre. Elle se réfugia dans la musique, pendant un an. Mais la musique ne fut bientôt plus suffisante. Et le jour où sa route croisa par hasard celle de l’enfant qui hantait ses nuit, celui-la même qui avait causé la perte de sa sœur… Ce fut ce jour-là qu’elle trouva à nouveau une raison de vivre. En le plaquant contre un mur. En posant sa main contre sa bouche et son nez. Et en l’étouffant, comme ça, en lui chantant une chanson que Primo avait toujours adoré. Le tout doucement. Tellement doucement que l’enfant avait eu le temps de se sentir mourir. Et le tuer… Le tuer avait fait vibrer chaque fibre du corps de Tempo. Elle recommença, le jour suivant. Elle tortura un nouveau gamin, pris au hasard, presque avec tendresse, pendant des heures. Et un autre… Huit, en tout, qu’elle tortura et qu’elle tua avec un plaisir qui l’enivrait toute entière. Huit, avant que la police ne se penche sur son cas… Il ne lui restait plus qu’une chose à faire ; fuir. Fuir loin. Elle eut la chance de tomber sur un navire pirate qui partait vers une destination étrange. Peu importe, tant que c’était loin. Et ce fut ainsi qu’elle se retrouva à faire la traversée jusqu’à Neverland… Un endroit peuplé de gamins… De quoi la rendre folle. Pourtant, elle arriva à se contenir. Elle ne su pas par quel miracle, d’ailleurs… Elle torturait encore, mais elle avait compris qu’ici, les enfants étaient intouchables. Et, malgré sa frustration, elle se sentait bien à Neverland. Elle trouva un travail au cirque ; c’était elle qui faisait la plupart des musiques qui rythmaient les numéros… Deux ans, maintenant, qu’elle est ici. Deux ans qu’elle retient ses pulsions… Mais grâce à un certain Jesse Miller, peut-être qu’elle pourra enfin les faire sortir...

Elle rêverait de rencontrer celui qui a poignardé Peter Pan. Cet homme pour qui elle a une admiration sans limite, même sans jamais l’avoir connu…

Fiche Validée

avec la mention très bien !

jesse a son premier fan :héhé: l'histoire est très bien écrite, le personnage intéressant et j'aime beaucoup le jeu des noms tempo et primo. je te valide sans souci, bienvenue encore une fois parmi nous.

Ton travail n'est pas terminé, tu as encore des choses à faire ! En effet, tu vas devoir recenser ton métier et ton rang dans la société ! Comme personne n'aime être seul, tu peux remplir ta fiche de liens et n'oublie pas de la mettre à jour régulièrement ! Et enfin, tu peux faire ta fiche de sujets, envoyer des fées porter tes missives, et même créer des scenarios. Le reste du forum t'est ouvert, amuse-toi bien parmi nous !